Sous-diacre
La fonction essentielle du sous-diacre est de préparer les hosties pour l'offrande du saint-sacrifice de la messe.
Les anciennes "Constitutions Apostoliques" proclament que :
le diacre soit pour l'Assemblée l'image du Christ
et que la diaconesse soit celle de l'Esprit-Saint.
Le rôle et l'action de l'Esprit-Saint sont méconnus par beaucoup de chrétiens qui ne voient en Lui qu'un accessit secondaire au Père et au Fils, contrairement au dogme trinitaire qui enseigne que les trois Personnes divines sont co-éternelles et co-égales entre elles.
Les adversaires de l’accession des femmes à la prêtrise disent que leurs vocations ne sont donc pas tout à fait similaires en argumentant que là où le sous-diacre va ressentir un appel à monter davantage les degrés de l'autel à travers le diaconat et la prêtrise pour parfaire sa vocation, la sous-diaconesse et la diaconesse semblent dans la vision de l’Église primitive évoluer vers un ministère beaucoup plus spiritain.
Ce que l’Église primitive avait compris, notre Église Gnostique Orthodoxe Celtique s'efforce de le maintenir et de l'actualiser en fonction de l'évolution sociétale.
Le sous-diaconat est le dernier ordre mineurs.
Acolyte
L’acolyte représente en partie ce que le prêtre est dans l’Église, car il fait une des fonctions extérieures du prêtre.
Il porte les chandeliers et la lumière ardente devant le peuple, pour montrer que le prêtre est le chandelier de l’Église, qui doit porter la lumière pour éclairer le monde. L’acolyte en ceci peut être considéré comme une image qui ne représente pas seulement le prêtre, mais encore l’évêque ou le pontife. Les évêques, dans l’Apocalypse, sont figurés par les chandeliers, au milieu desquels Notre-Seigneur se promenait pour nous donner à entendre que c’est au milieu d’eux que repose la plénitude de l’Esprit de Jésus.
C’est pour cela que les acolytes sont toujours devant le diacre lorsqu’il chante l’Évangile.
Acolyte
L’acolyte représente en partie ce que le prêtre est dans l’Église, car il fait une des fonctions extérieures du prêtre.
Il porte les chandeliers et la lumière ardente devant le peuple, pour montrer que le prêtre est le chandelier de l’Église, qui doit porter la lumière pour éclairer le monde. L’acolyte en ceci peut être considéré comme une image qui ne représente pas seulement le prêtre, mais encore l’évêque ou le pontife. Les évêques, dans l’Apocalypse, sont figurés par les chandeliers, au milieu desquels Notre-Seigneur se promenait pour nous donner à entendre que c’est au milieu d’eux que repose la plénitude de l’Esprit de Jésus.
C’est pour cela que les acolytes sont toujours devant le diacre lorsqu’il chante l’Évangile.
Sous-diacre
La fonction essentielle du sous-diacre est de préparer les hosties pour l'offrande du saint-sacrifice de la messe.
Les anciennes "Constitutions Apostoliques" proclament que :
le diacre soit pour l'Assemblée l'image du Christ
et que la diaconesse soit celle de l'Esprit-Saint.
Le rôle et l'action de l'Esprit-Saint sont méconnus par beaucoup de chrétiens qui ne voient en Lui qu'un accessit secondaire au Père et au Fils, contrairement au dogme trinitaire qui enseigne que les trois Personnes divines sont co-éternelles et co-égales entre elles.
Les adversaires de l’accession des femmes à la prêtrise disent que leurs vocations ne sont donc pas tout à fait similaires en argumentant que là où le sous-diacre va ressentir un appel à monter davantage les degrés de l'autel à travers le diaconat et la prêtrise pour parfaire sa vocation, la sous-diaconesse et la diaconesse semblent dans la vision de l’Église primitive évoluer vers un ministère beaucoup plus spiritain.
Ce que l’Église primitive avait compris, notre Église Gnostique Orthodoxe Celtique s'efforce de le maintenir et de l'actualiser en fonction de l'évolution sociétale.
Le sous-diaconat est le dernier ordre mineurs.
Exorciste
L’exorcisme est la pratique religieuse qui a pour but de délivrer une personne ou un lieu du démon ou de l'esprit malfaisant qui le possède, de l’exorciser.
Les Égyptiens croyaient surtout à la possession par les esprits des morts.
L'exorcisme, destiné à délivrer le possédé, consistait chez les Grecs et les Romains, en des purifications, des sacrifices accompagnés de certaines formules sacramentelles.
La Bible fait plusieurs fois référence aux démons et à l'exorcisme.
Les Juifs ont un certain nombre de formules qu’ils attribuent à Salomon, le prince des magiciens.
Le Nouveau Testament décrit plusieurs cas où Jésus chasse les esprits malfaisants par la prière et le pouvoir de son commandement.
Pendant les trois premiers siècles de l’Église, tout chrétien exorcisait non seulement les autres chrétiens qui étaient possédés du démon, mais encore les païens qui venaient l'en prier.
Au Moyen Âge, les moines exorcistes se servaient d'une plante, la benoîte, pour chasser le diable.
L'exorciste est l'héritier des ministres chargés, dans l’Église primitive, de s'occuper des possédés et plus ordinairement de faire les exorcismes mineurs ( prières avec imposition des mains ) sur les candidats au baptême.
Lecteur
L'office est connu dès avant 251.
Le lecteur était chargé
de garder les livres sacrés ;
de lire pour celui qui prêche ;
de chanter les leçons ;
de bénir le pain et les fruits nouveaux.
Il servait de secrétaire aux prêtres et aux évêques.
Le lecteur est chargé de lire la parole divine devant l'assemblée. Il proclame les Saintes Écritures à l'exception de l'Évangile.
Conscient de sa charge, le lecteur doit faire tous ses efforts pour acquérir la connaissance et l'amour de l'Écriture Sainte.
Portier
L'office de Portier constitue le premier degré des ordres mineurs.
Sa charge est connue depuis le III° siècle.
Le portier doit :
garder l'église jour et nuit, avoir soin que rien ne s'y perde ;
ouvrir et fermer l'église et la sacristie ;
avoir soin de la propreté et de la décoration de l'église ;
sonner les cloches pour indiquer les heures des différentes prières ;
faire tenir chacun en son rang et faire observer le silence et la modestie ;
empêcher les infidèles d'entrer dans l'église, troubler les offices, profaner les mystères ;
ouvrir le livre à celui qui prêche.
Les ordres mineurs et le sous-diaconat sont d’institution ecclésiastique et non divine. Ils ont été supprimés ou modifiés en 1972 par l’Église de Rome. on trouve les ordres mineurs et le sous-diaconat cités très tôt dans les documents de l’antiquité chrétienne.
Saint Thomas affirmait, à la suite de son maître saint Albert le Grand, dans le Commentaire du livre des Sentences :
« Chacun des ordres peut dans un sens être appelé sacré, parce qu’il est un sacrement ».
Il se fait l’écho de la position commune au XIIIe siècle, ce qui fait dire à saint Bonaventure que : « l’opinion la plus probable est que tous les ordres mineurs impriment un caractère »
Tous ceux que l’on députe à une fonction précise, il est d’usage de les marquer par un signe approprié.
Vous êtes notre Visiteur. Que la paix soit avec vous.
« Au commencement était le verbe » ( Evangile de Jean - 01:01 ) « examinez toutes choses ; retenez ce qui est bon » ( 1 Thessaloniciens - 5 :21 )
EGLISE ORTHODOXE GNOSTIQUE CELTIQUE