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A mesure que les temps apostoliques s’éloignaient, de plus en plus d’aménagements et de compromis ont été acceptés dans l’Église, le plus souvent pour des raisons pratiques.
 
Hermas a été contemporain des derniers apôtres de Jésus-Christ écrivait en 90 dans Le Pasteur, œuvre considérée comme canonique, notamment par Irénée de Lyon ou Clément d'Alexandrie  :
Mari et épouse doivent être traités de la même manière.
 
Justin Martyr (100-165) écrivait dans 1 Apologie, 15 :
Tous ceux qui épousent un homme ou une femme divorcés commettent un adultère.
Tout remariage, alors que le conjoint est encore vivant, constitue un adultère.
Clément d’Alexandrie (150-vers 216), théologien grec qui mourut martyr, dans Écrits divers 2 : 23-145 : 3, enseignait :
Les Écritures encouragent le mariage.
L’union du mariage est permanente et dure toute la vie. Personne ne peut briser cette union.
La seule raison biblique légitime pour un divorce est l’adultère d’un conjoint. Tout divorce pour n’importe quel autre motif est interdit.
Le conjoint divorcé doit rester seul, et s’efforcer de restaurer son mariage brisé, s’il est possible.
A mesure que les temps apostoliques s’éloignaient, de plus en plus d’aménagements et de compromis ont été acceptés dans l’Église, le plus souvent pour des raisons pratiques.
 
Hermas a été contemporain des derniers apôtres de Jésus-Christ écrivait en 90 dans Le Pasteur, œuvre considérée comme canonique, notamment par Irénée de Lyon ou Clément d'Alexandrie  :
Mari et épouse doivent être traités de la même manière.
 
Justin Martyr (100-165) écrivait dans 1 Apologie, 15 :
Tous ceux qui épousent un homme ou une femme divorcés commettent un adultère.
Tout remariage, alors que le conjoint est encore vivant, constitue un adultère.
Clément d’Alexandrie (150-vers 216), théologien grec qui mourut martyr, dans Écrits divers 2 : 23-145 : 3, enseignait :
Les Écritures encouragent le mariage.
L’union du mariage est permanente et dure toute la vie. Personne ne peut briser cette union.
La seule raison biblique légitime pour un divorce est l’adultère d’un conjoint. Tout divorce pour n’importe quel autre motif est interdit.
Le conjoint divorcé doit rester seul, et s’efforcer de restaurer son mariage brisé, s’il est possible.
 
Origène (185-Vers 254), dans Commentaires sur Matthieu : 14, disait :
Le mariage dure tant que les époux sont vivants.
Tout remariage, même légal selon la loi des hommes, ne peut jamais être considéré comme un mariage devant Dieu. Ce n’est qu’un adultère déguisé.
 
Basile le Grand (329-379), moine, évêque de Césarée de Cappadoce, docteur de l’Église, grand défenseur de la foi, dans Amphilochius : 199, enseignait  :
Quand un homme quitte sa femme, et que celle-ci se remarie, il pousse sa femme à commettre un adultère.
Une femme abandonnée par son mari, et qui a une relation sexuelle avec un autre homme, commet un adultère. Ceci est aussi valable pour l’homme qui est abandonné par sa femme.
Une femme abandonnée par son mari doit rester seule et ne pas se remarier. Toutefois, Basile reconnaît que cette femme peut parfois avoir des excuses si elle se remarie, et recommande de ne pas la condamner.  
 
Ambroise de Milan (340-397), considéré comme l’un des quatre principaux docteurs de l’Église primitive.,  a été à l’origine de la conversion de Saint Augustin,  Sur les devoirs du clergé : 1 : 257 et 3 : 89 – Abraham : 1 : 57-59 – Commentaire de Luc : 8 : 5, enseignait :
Tout acte sexuel en dehors du mariage est un péché. Dieu interdit de divorcer pour se remarier. Il est interdit pour un homme ou une femme de se remarier, tant que son conjoint est encore vivant. Il est faux de dire que le divorce est un droit. Même si la loi des hommes le permet, Dieu l’interdit formellement.
L’homme ne doit pas séparer ce que Dieu a uni.
L'union permanente de l'homme et de sa femme dans le mariage est la règle normative de l'Ancien Testament. L'enseignement de l'Ancien Testament est clair : il affirme la sainteté et l'inviolabilité du mariage et condamne comme adultère tout ce qui constitue une rupture de ce lien divinement institué. Et pourtant :
Deutéronome 24:1-2, repris dans Matthieu 5:31-32  :
Lorsqu'un homme aura pris et épousé une femme qui viendrait à ne pas trouver grâce à ses yeux, parce qu'il a découvert en elle quelque chose de honteux, il écrira pour elle une lettre de divorce, et, après la lui avoir remise en main, il la renverra de sa maison.
Elle sortira de chez lui, s'en ira, et pourra devenir la femme d'un autre homme.                       
 
L’Église primitive a fait preuve d’une remarquable unanimité en ce qui concerne l’enseignement sur le mariage, le divorce et … le remariage. .
Le sacrement du mariage est un sacrement très original par rapport aux autres, puisqu'il ne s'agit pas d'un don particulier, mais de l'élévation d'une situation humaine fondamentale. Entrer dans le mariage, c'est entrer dans une entité voulue et instituée par Dieu :
L'homme quittera son père et sa mère et s'attachera à sa femme, et ils deviendront une seule chair. ( Genèse 2:24 ; repris dans Éphésiens 5:31 ; Marc 10:7 )
Le mariage entre l’homme et la femme, - et non entre couple du même sexe -, est la représentation figurative de la réalité céleste de l’Alliance entre l’Époux et l’Épouse, c’est à dire de notre salut éternel.
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