Le Christ Tête est le principe de vie, de cohésion et de croissance de tout le Corps :
Colossiens 2:19 :
sans s'attacher au chef, dont tout le corps, assisté et solidement assemblé par des jointures et des liens, tire l'accroissement que Dieu donne.                                                               
Éphésiens 4:15-16 :
mais que, professant la vérité dans la charité, nous croissions à tous égards en celui qui est le chef, Christ.C'est de lui, et grâce à tous les liens de son assistance, que tout le corps, bien coordonné et formant un solide assemblage, tire son accroissement selon la force qui convient à chacune de ses parties, et s'édifie lui-même dans la charité.   
Le Christ est donc la norme d’existence de l’Église. Il est l’image du Dieu invisible.
Colossiens 1:1 :
cause de l'espérance qui vous est réservée dans les cieux, et que la parole de la vérité, la parole de l’Évangile vous a précédemment fait connaître.
En ce qui a trait à l’aspect d’autorité, rattaché aussi au symbole de la tête, il ne peut pas servir non plus de raison pour nier aux femmes la capacité d’agir au nom du Christ.
L’expérience montre que l’autorité s’exerce aussi bien par les hommes que par les femmes. Les femmes sont nombreuses à la tête d’entreprises de toutes sortes, d’organismes nationaux et internationaux, de ministères gouvernementaux, voire de pays.
Aussi faut-il reconnaître que l’image du Christ-Tête, en tant que désignant le partenaire divin de l’Alliance, n’appelle pas de facto la représentation masculine.
L’accès des femmes au presbytérat ne doit plus être déclaré impossible. C’était aussi ce que disait, en 1976, la commission biblique pontificale sollicitée par Paul VI pour donner son avis sur l’ordination des femmes.
 
Le rituel d'ordination d'un prêtre est le même pour un homme ou pour une femme. Pour cette dernière, juste quelques phrases sont ajoutées.
L'apôtre Saint Pierre, premier Pape de l’Église de Rome était un homme marié. Suivant la foi de l’Église primitive et comme dans les Églises orthodoxes et catholiques orientales, le prêtre  peut choisir de se marier s’il le veut. Dans l’Église primitive la question du célibat pour accéder aux fonctions sacerdotales ne s'est jamais posée.Cette possibilité est une grande richesse car elle permet une meilleure compréhension de tous les aspects de la vie chrétienne. De plus, hommes et femmes ont accès au sacerdoce.
Selon un évêque brésilien, Erwin Kraütler, évêque de Xingu, le pape François n’aurait pas d’objection à l’ordination d’hommes mariés, et souhaiterait que ce sujet soit pris en charge par les épiscopats locaux, en fonction de leurs besoins. Il S’exprimait le 5 avril 2016 dans les colonnes d’un journal autrichien, le Salzburger Nachrichten (repris en anglais par The Tablet. Mgr Kraütler faisait référence à une conversation qu’il a eu en privé avec le pape François la veille, soit le 4 avril 2016.
 
Dans l’Église primitive, l'entreprise apostolique la plus remarquable n'a pas été menée sans une large part de coopération féminine. Les opposants à la prêtrise féminine mettent l'accent sur le fait que les femmes de l'Église primitive n'ont jamais exercé de ministère sacerdotal et que les seules fonctions agréées à partir de la fin du III° siècle dans le contexte de la communauté, étaient le diaconat. Il n'y a aucun argument historique, biblique, théologique, exégétique, qui justifie l'exclusion des femmes.
Jamais l'Église catholique n'a admis que les femmes puissent recevoir validement l'ordination presbytérale ou épiscopale. Quelques sectes hérétiques des premiers siècles, surtout gnostiques, ont voulu faire exercer le ministère sacerdotal par des femmes : cette innovation a été relevée et blâmée aussitôt par les Pères de l'Église de Rome, qui l'ont considérée comme irrecevable.
L’exclusion des femmes de la charge presbytérale est un fruit de l’évolution historique plutôt que d’une fidélité à la volonté du Christ. Jusqu’à une époque récente, dans l'église catholique, les femmes n'étaient plus admises à entrer dans le sanctuaire. A fortiori, elles n’exerçaient pas les fonctions du service de la parole (lectorat) ou du service de l’autel (acolytat). Seuls les hommes sont appelés à remplir ces fonctions, suivant la tradition universelle de l’Église. Paul VI, dans sa lettre apostolique Ministeria quaedam publiée en 1972 , le rappelle avec fermeté tout en assouplissant la règle en faveur des hommes laïcs, pouvant devenir diacres ( mais pas prêtres ) même s’ils sont mariés.
Près de vingt siècles ont été nécessaires à l’exégèse catholique pour retrouver et pour interpréter à nouveau sans restriction que la femme est créée à l’image de Dieu.
La problématique se cristallise autour de l’interprétation des images Christ Époux et Tête de l’Église. Pourtant, la femme chrétienne est appelée à refléter en elle-même et à révéler l’identité de l’épouse-Église, dont le type suprême est une femme nommée Marie.
Presbytérat
Second des ordres sacrés dans l'Église orthodoxe et dans l'Église catholique.
Un prêtre, du latin presbyter, lui-même emprunté au grec πρεσβύτερος ( presbýteros ) « ancien »   est un homme ou une femme ( on utilise dans ce dernier cas les termes prêtresse ou femme prêtre ) qui exerce un ministère sacré dans une religion et y est chargé du service liturgique, présidant aux cérémonies de certains cultes religieux.
En Egypte régnait une parfaite égalité entre les hommes et les femmes. On y retrouve la prêtrise féminine sous les initiées aux mystères d'Hathor.
On inventa, pour mieux coller au sacerdoce sacrificiel de la torah, la fonction de prêtre à partir du presbyteros de l’Église primitive, qui, en grec, désigne tout simplement les personnes âgés, mais que l’on utilisait dans un sens de personnes sages, autrement dit les « anciens ».
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